
Il est 19h30, on abandonne…. On trouve un automobiliste pour nous conduire dans un hôtel restaurant et on dort. On verra demain.
Ce matin, petit déjeuner et « brain storming ». On décide d’aller rejoindre l’ambulance à pied pour faire un diagnostic plus précis que celui de la veille en se disant que 5 km n’étaient pas la mer à boire. Résultat, on a fait 15 kilomètres dont une partie en bord d’autoroute (seule possibilité pour passer une rivière qui nous barrait la route) et sommes arrivés vers 12h30. Cet après-midi, repos pour les filles et atelier mécanique pour le garçon. Les clés1er prix constituant la trousse de bord n’ont pas vraiment fait leur office. On ne pouvait pas s’en sortir…. Jusqu’à l’arrivée d’un camping-car Hollandais qui a bien voulu nous prêter des outils dignes de ce nom. Le diagnostic est posé partiellement. On sait d’où vient la panne, avons trouvé la pièce défectueuse mais on ne sait pas encore quelle est l’étendue des dégâts. On verra demain…
DIMANCHE 25 SEPTEMBRE
Nous sommes donc partis de Guichen samedi matin à 7 h00
Traversée de la France sans problème, arrivée en Espagne sous la pluie comme prévu au niveau des Pyrénées. Passage de San Sébastian avec un petit arrêt café. On poursuit, soleil couchant pour accompagner la fin de journée. L’objectif était de passer Valladolid et repartir de bonne heure Dimanche afin d’arriver en fin de journée à Algésiras pour prendre nos billets bateau pour le lendemain. Et là, l’ambulance nous dit non, 1044 km dans la journée ça suffit. Un bruit, le tableau de bord qui dit stop et on se gare dans une station-service. Et quelle station, celle où on avait fait le plein lors de la descente du camion de pompier qui nous l’avait mis en panne….


